Depuis sa création en 2006, l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes est l’unique structure de régulation de la profession, garante de la qualité des soins et de la sécurité des patients.
Instance indépendante, démocratique et transparente, interlocutrice privilégiée des pouvoirs publics, elle est une force de proposition pour améliorer en permanence l’exercice, accompagner et anticiper les évolutions de la kinésithérapie.
Il garantit aux patients la compétence et le professionnalisme des praticiens ainsi que le respect de la déontologie et de la moralité pour répondre à l’exigence de qualité des soins et de sécurité à laquelle ils ont droit.
Les conseillers ordinaux représentent la diversité des 100 000 kinésithérapeutes qui dispensent plus de 2 millions d’actes chaque jour dans des établissements de soins, dans leur cabinet, en entreprise ou sur les terrains de sports…
L’Ordre des sages-femmes veille au maintien des principes de moralité, de probité, de compétence et de dévouement indispensables à l’exercice de la profession de sage-femme et à l’observation, par tous ses membres, des devoirs professionnels ainsi que des règles édictées par le code de déontologie.
Il assure la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession de sage-femme. L’Ordre est un organe de référence pour les sages-femmes, mais également pour les pouvoirs publics et les usagers à qui il offre, grâce à la mise en œuvre de ses différentes missions, des garanties sur les compétences des sages-femmes.
Conscient de l’importance de la place des sages-femmes dans le parcours de santé des femmes et soucieux de permettre à ces professionnels de santé d’assurer pleinement leur mission de santé publique, l’Ordre des sages-femmes, bien au-delà de sa mission régulatrice, se donne pour objectif de permettre aux femmes de faire valoir leurs droits et leurs choix.
Être au service des médecins dans l’intérêt des patients
L’Ordre des médecins, organisme privé, remplit des missions de service public et travaille au quotidien avec l’ensemble des acteurs du système de santé. Il met à disposition son expertise, il apporte sa vision et veille au respect du code de déontologie médicale par les médecins.
Il représente tous les médecins, quels que soient leurs mode d’exercice et spécialité. Il les accompagne dans leur activité quotidienne, il leur apporte de multiples prestations allant de l’information et du conseil sur les aspects pratiques et déontologiques du métier à la garantie de leur qualification et de leur compétence.
L’Ordre national des pharmaciens est l’institution qui regroupe tous les pharmaciens exerçant leur art en France Métropole ou dans les départements et collectivités d’Outre-mer.
Il est chargé par la loi de remplir des missions de service public. Ces missions fixées par le code de la santé publique (article L.4231-1 du CSP) sont :
Le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens est le défenseur de la légalité et de la moralité professionnelle (article L.4231-2 du CSP).
Il est qualifié pour représenter, dans son domaine d’activité, la pharmacie auprès des autorités publiques et des organismes d’assistance.
En lien avec ses missions légales, l’Ordre national des pharmaciens a développé au fil des années, de nombreuses actions de mise en valeur du rôle des pharmaciens en faveur de la santé publique
Les infirmiers sont en France la plus nombreuse profession de santé. Près d’un français sur 100 exerce comme infirmier ou infirmière remplissant une mission sociale d’intérêt général, dans le secteur de la santé, où une très forte exigence d’éthique est requise.
Les infirmiers exercent en une grande variété de lieux et sous une grande variété de statuts : dans les hôpitaux, les cliniques et les maternités, les établissements sociaux ou médico-sociaux, au domicile des patients, en établissement scolaire, en entreprise ou service de santé au travail, dans les services de protection maternelle et infantile des conseils départementaux, dans les crèches, etc. Etre infirmière ou infirmier c’est aussi acquérir de hautes compétences techniques en anesthésie, au bloc opératoire, en puériculture ou dans les nombreuses spécialités médicales et chirurgicales.
En tout lieu, les infirmières et infirmiers sont proches des patients et des usagers, des familles et des enfants, des employés au sein des entreprises. En tout lieu, la même exigence de déontologie s’impose pour garantir la confiance placée en ces professionnels de la santé.
Au service de votre sante bucco-dentaire par la gestion des chirurgiens-dentistes
La mission de l’Ordre est clairement définie par le législateur.
Au service de la santé publique et de votre santé bucco-dentaire, l’Ordre veille « au maintien des principes de moralité, de probité, de compétence et de dévouement indispensables à l’exercice (…), et à l’observation (…) des devoirs professionnels, ainsi que des règles édictées par le code de déontologie. » et assure « la défense de l’honneur et de l’indépendance (…) de la profession de chirurgien-dentiste ». (article L4121-2 du Code de la Santé Publique)
Ainsi, l’Ordre a :
Chargé d’une mission de service public, l’Ordre est l’interlocuteur des pouvoirs publics.
Le patient, et sa santé, est placé au centre des missions de l’Ordre.
Garant de la qualité des soins, des compétences, de la déontologie, de l’organisation et de la discipline de la profession dans un but d’intérêt général.
L’Ordre des pédicures-podologues assure la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession, veille au maintien des principes de moralité et à l’observation, par tous ses membres, des droits, devoirs et obligations professionnels, ainsi que des règles édictées par le code de déontologie.
Sa mission concerne avant tout « l’organisation et la discipline de la profession dans un but d’intérêt général ». Ce rôle d’autorégulation, accomplit par l’intermédiaire de son Conseil national et de ses Conseils régionaux, se décline en cinq thèmes spécifiques : moral, administratif et réglementaire, juridictionnel, consultatif et d’entraide.
Instance de référence pour les pédicures-podologues, l’Ordre contrôle leur accès à la profession, rédige et fait évoluer leur Code de déontologie, les aide sur le plan administratif et juridique tout au long de leur vie professionnelle.
Il est aussi un interlocuteur privilégié des patients en veillant à la compétence des pédicures-podologues, à la qualité des soins et à la légalité de leur exercice. Il intervient également auprès des pouvoirs publics pour faire évoluer les textes législatifs et réglementaires régissant la profession et émettre des avis lors d’importantes questions de santé publique et d’organisation des soins.
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